Revue de fausse presse

Publié le 23 Mars 2013

Ce roman ne correspond à aucun profil de lecteur pré-formaté. C’est un livre libre qui parle au gens libres. Pas un consommable. » La bibliothèque infernale

« Un livre d'une souplesse incroyable. Les grands écarts y côtoient les coqs à l'âne sans que le texte, truffé de petits bijoux, ne perde son équilibre. Le lecteur est souvent dérouté au plus profond de lui-même sans jamais être perdu.» L'Écho d'Échouilles

« Qui a dit que les poètes ne pouvaient pas inventer un monde crédible ? Lontodiof prouve le contraire de manière cinglante.» L'Économie libérée

« Un livre d’Afrique, un livre de fauve. L’horrible y côtoie le magnifique. Un hymne à la vie où triomphe la sérénité. » Télé-Ramage

« Un périple d’amour aux tréfonds de l’humanité. » Le Zigarock

« Ca n’occupe qu’un chapitre, mais après l’avoir lu, plus jamais un pédophile n’osera se regarder dans un miroir. » Le Nouvel Obsédateur

« Les Indignés n'ont plus qu'à s'organiser et fonder « L'homme sans ego », qui non seulement met l'ensemble des religions à quatre pattes mais refait le monde en toute simplicité. Dommage que le roman se laisse seulement lire, il y a des passages superbes et peut-être des pistes pour une autre manière de penser et surtout, de vivre.» La république du milieu

« César Lontodiof a écrit un livre. Un seul. Tant mieux ! Ma phrase est ambigüe. Tant pis ! Lisez-le, vous comprendrez... » Le Point d'ulcération

« De toute évidence, c’est un premier roman. Il y a dans l’écriture une forme de virginité et des fulgurances comme d’un enfant trop vite mûr où d’un vieillard à l’âme juvénile. Une femme ? Non, car le livre a de la couille. Ca ne lui donne aucune supériorité par rapport à un roman féminin et il n’y a pas de quoi dire ‘au contraire’, c’est comme ça, c’est tout. Mais Lontodiof flirte avec le sublime quand sa plume embrasse le sexe des anges. » L'enfance bafouée

« De sa courte existence, César Lontodiof n’a jamais dit qu’il était amoureux des mots. Pudeur sauvage ? Qui sait ? Mais les mots, eux, semblent amoureux de lui. » Le home aux idées

« Oh ! Enfin un livre sans sérial killer, hémoglobine factice et suspense malsain. Lontodiof prouve qu’il est possible d’atteindre l’âme sans provoquer un bain de sang. » Der kill bild (traduction maison)

« Attention chef-d’œuvre masqué ! Des dialogues kitsch surfent sur l’eau de rose profonde et la zèbrent de fulgurances poétiques. Lontodiof mélange allègrement les cinq degrés de l’écriture sans que le récit ne perde sa fluidité. Attention encore ! Un chapitre dégueulasse sans doute destiné à écœurer les pédophiles d’eux-mêmes m’a fait vomir au milieu des violettes. » Le Zoroastre

« Lontodiof a été plus influencé par ses lectures de « Kor et ses chiens-loups » et « Petitou » que par celles de « Madame Bovary » et « Le paysan de Paris ». Son style s’en ressent. Mais ce n’est surtout pas un livre pour enfants. La solitude le guette. » Ex licite

« Un style à la fois vintage et d’une étrange modernité » Galapiat

« Fils de Jules Verne et de la Comtesse Rostopchine Lontodiof ne renie pas sa filiation, s’éloignant ainsi de l’hémoglobine à l’américaine. Il retrouve la puissance du quotidien sans les artifices de personnages psychotiques et autres remèdes pour imaginaires sclérosés. » Notre température

« Il voulait réunir les cultes et les incultes. C’est raté ! Le livre ne plait qu’à moitié aux uns et aux autres. Voire pas du tout. » Le Figavioc

« Lontodiof joue beaucoup de la phrase à double sens. Pas toujours facile d’alunir sur la face cachée des mots. L’étrange chapitre 23 peut se lire convexe ou concave. Ce n’est plus du trompe-l’œil, c’est du trompe-l’âme. » L’extension

« Des phrases à couper le souffle, des ricanements plats, quelques mièvreries, des fulgurances, c’est l’homme mis à nu. Mais le poète épisodique est là qui soutient le roman et allume des lumières pour la pensée des autres. » Litre

Rédigé par César Lontodiof

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